Pierre Papier Ciseau mais pourquoi je perdais toujours à ce jeu contre Dean hein ? Voilà qu'une nouvelle fois je me retrouvais à enquêter sur des morts pour le moins curieuse, à devoir interroger les gens et mettre le nez dans la paperasse pendant que monsieur était dans la chambre d'hôtel sur l'ordinateur portable, bière en main à faire des recherches aléatoires comme un pacha. Rha ce que je pouvais le détester lui quelque fois, mais bon c'était mon frère le dernier membre de ma famille encore vivant évitons de le tuer hein ? Non ? Respire Sammy, respire ! Tu vas y arriver. Atchoum ! Respirer semble être ne réalité une bien mauvaise idée. Je vais le tuer, c'est définitif ! Et pas de: Mais Sammy je profite de la vie voyons parce que j'allais faire un carnage. je m'étais déjà tapé quatre mois d'enquête seul à trimer et voilà que MONSIEUR était de retour et que je ne faisais que les taches ingrates. Votre famille il faut l'aimer la chérir... Avec un frangin pareil ils tiendraient pas les même discours je vous le dis !

Je reposais un peu brutalement une pile de dossier déclenchant par la même occasion un second éternuement m'attirant les foutres d'une dame certainement âgée de la cinquantaine et mécontente d'être tirée de ce qui semble être un roman d'amour. Les meurtres de cette ville un peu trop récurant voici le thème de ma recherches. Cette bibliothèque disposait d'archives incroyables donc je pouvais accéder grâce à ma fausse plaque du FBI et mon costume dont j'avais négligemment desserrer la cravate sous peine de m'asphyxier parmi toute cette poussière. Ma plus grande découverte était qu’apparemment ça ne remontait pas qu'aux derniers mois. Lorsque mon GSM vibra, je grognais le cherchant par ci par là jusqu'à trouver l'objet de ma convoitise. Sauvé par le gong ? Quand on pensait au loup... "Bouge toi les fesses petit frère, nouveau meurtre au lycée de Beacon. Pense à rapporter la bouffe en rentrant ! Amuse toi bien Sammy !". Il allait voir où je lui mettrais son hamburger !

J'empilais alors les dossiers qui avaient été les objets de ma torture par un pareil beau temps replaçant le tout dans une boite faite pour les protéger de l'humidité et soit disant de la poussière aussi bien qu'une passoire en somme. Hop tenue de nouveau impeccable je quittais en hâte l'immense bibliothèque heureux de revoir le soleil et surtout de respirer certes un air pollué mais moins poussiéreux que dans cette caverne nommée Bibliothèque, enfin surtout dans le section archives le reste c'était largement vivable. J'étais parvenu à négocier au moins l'impala à mon frère, je m'engouffrais donc dans l'habitable changeant la station et laissant ma fenêtre ouverte. C'était agréable de rouler, même si le trajet était court me trouvant au centre ville. Alors que je m’approchais de la bâtisse je trouvais déjà les véhicules habituels en cas de décès. Les élèves semblent ils quittaient plus tôt que prévu l’établissement pour cause du décès.

Sortant de notre voiture si mythique, je montais les marches quatre à quatre, sortant mon badge pour passer sous les banderole interdisant l'accès à toutes personnes non habilitée. Je pénétrais dans le couloir avec calme prenant l'assurance d'un enquêteur, je ne tardais pas à trouver l'origine du meurtre. Sitôt à quelques mètres de la cafétéria, j'arrêtais un policier pour lui demander plus de précision dont la langue se déliait à la vue de mon insigne. Si j'avais bien saisit c'était la capitaine des cheerleader qui avait été retrouvée morte sans explication, une certaine Ashley Feever agée de 16ans. L'homme me conduisit alors près du corps , accroupis je soulevais le drap à la recherche d'un moindre indice. Lorsque j'entendis la voix semble-il du marshall responsable de l'enquête. ici on prenait garde à chaque mort avec sérieux en vu du taux élevé de mortalité. Je craignais donc que le responsable se montre hargneux avec les fédéraux. Je me redressais donc et me retournais pour faire face à ce dernier...

Cette fille dont le corps était allongé sur le carrelage froid de la cafétéria était le stéréotype même de ces filles qui vous observiez dans ces série télévisée. Petite, fille, bien sur de longs cheveux blonds avec l'uniforme réglementaire des cheerleader aux couleurs de l'école. Une seule chose avait cependant de suite attiré mon attention, ses yeux marquaient une profonde peur, Ashley avait vu a n'en pas douter son agresseur. Si seulement parfois les morts pouvaient juste parler et nous révélez leur secret... Bon parfois cela mettrait un bordel monstre mais au moins nous arrêterions les fumiers responsable de cela. J'allais avoir besoin du rapport d'autopsie et même peut-être de consulter le corps.

Cette voix je ne savais pas pourquoi mais me rappelait vaguement quelque chose, comme un souvenir lointain. L'avantage était que j'avais réponse à l'une de mes questions comment se nommait le responsable sauf que cette nouvelle arrivante faisait naître davantage de questions évidemment. Je me tournais alors pour faire face à la personne qui était supposée être ma collègue. Subitement une quinte de toux montait en moi pour cacher la surprise risquant de dévoiler ma couverture. Qu'elle avait été les probabilités que je retombe sur elle hein ? Quasiment impossible et pourtant.... Bon au moins j'aurais put tomber sur largement pire comme coéquipière. C'était clair que ça me changerait largement des techniques pour le moins bourrins de mon frère. Je me retins de me fendre d'un sourire alors que la jeune femme m'alpaguais.

"Je pensais vous avoir demandé de m'attendre."

C'était avouons le une phrase à double sens, j'en avais voulu à Dean lorsque j'avais appris ce que ce dernier avait fait à Poppy, à l'heure actuelle je n'étais même plus sur qu'il se souvienne de son prénom, du Dean tout craché. Moi je me souvenais très bien de la jeune femme bien que physiquement cette dernière avait évoluée. Les mois avaient passés et chacun avions changés à n'en pas douté cela me faisais étrange tout de même de constater cela. Nous avions toujours été proche étant gosse, toujours fourrés ensemble à vrai dire elle avait été la seule relation que j'avais put conserver à travers ces années de vagabond. J'étais troublé de la voir ainsi comme une femme admettons le. Je sentis alors le regard su shérif passant de l'un à l'autre. Il était vrai qu'à nous voir comme cela ça devait être comique. Je tournais mon visage vers lui me postant aux côtés de la demoiselle pour rendre l'histoire plus crédible.

Alors Shériff que sait-on des conditions exacte de la mort ?

J'avais envie de tout lui déballer lui expliquer ce qu'il s'était passer et pourquoi je ne lui avais pas adressé la parole pendant quelques mois histoire de remettre les choses à zéro et retrouver notre complicité d'antan. Dans ce monde les vrais amis se comptaient sur les doigt d'une main et je ne voulais certainement pas perdre Poppy surtout si notre complicité pouvait être remise au gout du jour. Sauf que déballer tout cela ici devant le shérif reviendrait à se faire mener à l’hôpital psychiatrique sans passer par la case prison, et comme dirait si bien Dean pudiiiiiing ! J'avais l'impression de redevenir cet adolescent qui dans le fond craquait peut-être pour son amie. Ho mon dieu je me transformais en Dean, je repassais par la case enfance !

Vous aviez déjà vu un gars de 1m93 tout gené dans son costume noir, bah voilà c'était le cas. Je m'empressais donc de m’intéresser à la raison première de ma venue ici. Evidemment je m'attendais à pas de témoin ou chose de ce genre ça serait trop facile à dire vrai je m'attendais plus à des signes spécifiques déceler sur le corps ou même autour. je prenais le soin de renifler autour de moi, aucun souffre à l'horizon, de plus ni morsure, griffure ou autre on pouvait exclure les vampires. Seulement le métier pouvait inclure des tas d'autre bébêtes toutes aussi méchantes les unes que les autres. Vous croyiez avoir tout vu et bah le lendemain on vous prouvait que vous aviez tord.

" Tu penses à quoi ? A un esprit ?"

Je m'éclaircissais la gorge pour signal que notre homme revenait, reprenant contenance, même pas de bonjour tu vas bien ? Les retrouvailles s’effectuerait plus tard lorsqu'elles seraient propices sans doute. Je le voyais regarder un rapport semblait-il écrit à la hâte par le légiste qui venait toujours faire des premières estimations avant d'emmener la jeune femme pour procéder à l'autopsie. Au moins il se montrait coopératif avec nous c'était la bonne chose de cette enquête, en fait ici il devait être habitué aux fédéraux. En tout cas c'était regrettable morte si jeune...

Alors d'après le légiste aucune marque particulière sur le corps seul fait notable un collier représentant un quelconque signe occulte. Vous savez un truc de jeunes quoi. Nous pencherions pour une crise cardiaque, aucun témoin et estimation de l'heure de la mort 14hoo.

Une crise cardiaque vraiment ? Je ne doutais pas du diagnostique mais de ce qui l'avait provoquée car comment une adolescente qui n'était pas en surpoids et en excellente santé, pratiquant du sport régulièrement et si je consultais son dossier médical j'en étais sur ne présentait aucun danger cardiaque pouvait mourir d'une telle manière ?! Ça ça sentait le surnaturel à plein nez. J'échangeais un regard plein de sous entendus à Poppy. Avant d'observer le fameux bijou, hop GSM, clic clac la photo était dans la boite. Je préférais ne rien exclure.

"Je dois vous laissez on doit ramener le corps au frais, ordre du légiste. Passez au bureau pour le rapport détaillé. Mademoiselle, monsieur.

Bien sur que je savais parfaitement de quoi il en retournait. J'étais loin d'ignorer ce que mon aîné avait put faire à Poppy, cela avait été d’ailleurs un sujet de dispute entre nous deux si bien que quelques jours durant dans la voiture se fut très très tendu. J'avais demandé comme il avait lui faire ça, surtout à une de mes amies. Normalement la règle entre frères établissait un truc comme cela non ?! Puis plus tard Dean avait grommelé un truc à ce propos comme quoi il verrait pour la recontacter. J'ignorais si il l'avait fait, enfin vu ces derniers temps je pensais que non évidemment... Je fis un signe de tête au shérif pour lui signifier mon remerciement et un au revoir dans les règles préoccuper par cette découverte.

Je me laissais entraîné par ma partenaire avec une seule idée en tête pour le moment envoyer ça à l'autre pacha pour qu'il me trouve une quelconque correspondance. A lui de faire le sale travail pendant que cette fois c'était moi qui me trouvais en bonne compagnie à mes yeux. Mon regard se posait alors sur son détecteur présent dans sa veste, ça c'était une bonne nouvelle néanmoins j’espérais une chose que les flics évacueraient très vite se dont je doutais fortement. je me mis à pianoter sur mon cellulaire pour envoyer la photoi suivit d'une légende à mon frère ajoutant qu'il faudrait que l'on parle lui et moi. Je rangeais mon téléphone puis redressais la tête lorsque la brunette me demandais comment j'allais

Je lui adressais un sourire triste et compatissant marquant le regret de ces mois passés sans avoir put se parler et des événements qui avaient put se dérouler. A bien y réfléchir je me demandais comment nous tenions encore debout, surement l'un pour l'autre et parce qui prendrait notre place après. je passais ma main derrière ma nuque pour la dénouer un peu observant autour de moi l'immense réfectoire qui se vidait peu à peu. Avant de revenir vers le visage de la jeune femme, ses traits étaient résolument ceux d'une femme, une belle femme ne le cachons pas. Quelque chose me disais que son caractère mordant, elle le possédait toujours.